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Famidac, l'association des accueillants familiaux
et de leurs partenaires

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Humour noir

Fiche pratique, pour les Accueillants et les futurs accueillants : à quoi ressemble votre maison ?

  • Votre maison, photographiée par vous même :
  • Votre maison vue par l’ergothérapeute du service Accueil Familial, qui pour garantir la sécurité des personnes accueillies préconise juste quelques menus travaux...
  • Votre maison vue par votre banquier, qui s’est renseigné sur
    - la précarité de votre statut,
    - vos non-droits au chômage,
    - le montant de vos ressources en cas de décès ou de départ des personnes accueillies,
    - etc. etc...
  • Votre maison vue par le fisc,
    qui se fait des illusions sur votre profession :
  • Votre future nouvelle maison :
Cliquez sur l’image pour une visite détaillée...

Vive l’accueil familial ?????

Si ça vous convient parfaitement, ne faites rien.

Si vous voulez que ça change enfin, cliquez ici !


Salaires d’accueillants

Nous savons maintenant qu’une journée de travail d’un accueillant familial accueillant familial
accueillants familiaux
Agréés pour prendre en charge à leur domicile des personnes âgées ou handicapées adultes n’appartenant pas à leur propre famille, les accueillants familiaux proposent une alternative aux placements en établissements spécialisés.
est évaluée, par le Gouvernement, à 2,5 heures de SMIC...

Mais savez-vous qu’une journée de maladie, maternité, paternité, invalidité, incapacité temporaire, rééducation... ou de DÉTENTION PROVISOIRE est évaluée (au minimum) à... 6 heures de SMIC ! (Article R313-8 du Code de la Sécurité sociale)

Ben oui... Notre Constitution (de 1789) ne disait-elle pas "Tous les citoyens naissent libres et égaux en droit" ? Ben non. Maintenant c’est changé. Au cas où vous ne le sauriez pas.

Amicalement, Arthur (message à Famidac du 19/07/03)

L'accueil familial a bien du mal à décoller !

Salaire de médecin

Une accueillante familiale rencontre rencontre une de ses collègues et lui demande des nouvelles de sa santé.

  • Oh, ça va beaucoup mieux, répond l’amie. Tu te rappelles que mon toubib m’avait promis de me faire remarcher en quelques mois ?
  • Et il a réussi ?
  • Complètement ; ses soins m’ont coûté si cher que j’ai été obligée de vendre ma voiture !

Pour économiser l'électricité...

Entretien d’embauche

Avant l’embauche :

C’est un gars qui passe un entretien d’embauche, au service "accueil familial" du Conseil Général.

Le recruteur lui demande :

  • Je vois, dans votre CV, que vous étiez dans l’armée avant ; ça peut être un atout, lorsqu’il s’agit de mettre certains accueillants familiaux "au pas". Avez-vous combattu ?
  • J’étais dans la légion. J’ai servi entre autres pays au Zaïre. C’est à cause des combats là-bas que j’ai maintenant une incapacité partielle...
  • Ah bon ? Qu’est-il arrivé ?
  • Eh bien, une grenade a explosé tout près de moi, et j’ai pris un éclat qui m’a pulvérisé les deux testicules...
  • C’est vrai ? Alors je vous prends.. Vous commencez lundi à 10 heures du matin.
  • Est-ce vraiment l’heure à laquelle tout le monde commence ? Je ne demande aucun traitement préférentiel...
  • En fait, tout le monde commence à 8 heures, mais pour être honnête avec vous, on ne travaille pas vraiment tout de suite : de 8 à 10, on se met tous autour d’une table et on se gratte les couilles avant de décider par quoi on va commencer !

Après l’embauche :

  • Moi, Monsieur, j’suis fonctionnaire : je travaille dans l’Administration !
  • Ah ?! C’est donc vous !!!!!

Sixième sens indien

Pour éviter toute mésaventure, certains accueillants familiaux aimeraient bien être dotés du "sixième sens indien". Mais de quoi s’agit-il précisément ?

Deux cow-boys, convoyant du bétail dans les plaines de l’Ouest, distinguent la silhouette d’un Indien couché sur le sol. Il se rapprochent et voient finalement que le Comanche est à plat ventre, l’oreille collée contre le sol.

Les cow-boys s’arrêtent et l’un dit à l’autre :

  • "Tu vois cet Indien, il est en train d’écouter les vibrations du sol. Il est capable de déterminer si un cavalier ou un attelage arrive et à quelle distance il se trouve."

À ce moment là, l’Indien relève la tête et dit :

  • "Chariot couvert, à deux miles, plein sud. Deux chevaux, un bai brun et un alezan. Un homme barbu, une jeune femme blonde, deux enfants avec affaires dans chariot."
  • "Incroyable !" s’exclament en cœur les cow-boys. "Cet Indien est tout bonnement incroyable. C’est époustouflant... Comment peut-il savoir tout ça ?!!"

Alors l’Indien relève la tête et explique :

  • "Eux roulé sur moi il y a une demi-heure."

Remplacez, dans cette histoire, l’indien et le chariot par un accueillant, un accueilli ou par certains services départementaux (au choix)...

Moralité : on a beau être prévenus, ça ne suffit pas forcément pour éviter les bavures !!!

Remplacement

Je ne sais pas comment se passent vos remplacements en province, mais sur PARIS, j’ai trouvé une auxiliaire de vie pour me remplacer.
Elle avait une spécialité que même les italiens n’ont pas osé inventer : LA CHOUCROUTE A LA SAUCE TOMATE.

Je suis partie 15 jours au mois d’août, et sur les tickets de caisse, j’ai vu passer 8 grosses boîtes de choucroute et autant de sauce tomate.

Le pauvre papy ne s’en est pas encore remis, lui qui était constipé se vide littéralement. Le plus grave dans l’histoire, c’est qu’il est tellement affaibli que nous avons dû l’hospitaliser.

Choucroutement vôtre, Arlette.

Fumer tue

Ce sont deux poseurs de moquette qui travaillent dans une grande pièce de la maison. Après avoir fini de tout coller, l’un dit a l’autre :

  • "Il reste une bosse dans le coin a gauche."
    L’autre répond, gêné :
  • "Flûte, ce sont mes cigarettes qui sont restées dessous..."
  • Bon, écoute, pour un paquet de clopes, on va pas tout défaire. En sautant dessus, on devrait arriver à aplatir la bosse."

Les voilà qui piétinent vigoureusement le coin en question.

Une fois le travail fini, la propriétaire arrive.

  • "Je vous ai préparé un bon café. Au fait, l’un de vous a oublié son paquet de cigarette dans la cuisine. Par contre, n’auriez-vous pas vu mon hamster, qui s’est échappé tout à l’heure ?"

J’ai faim (1)

Henri, sa mère et sa copine font naufrage sur une île déserte. Désespérés et affamés, ils partent chacun à la recherche de leur destin. Henri part vers la gauche de l’ile, sa mère vers la droite et sa copine vers le centre.

Après plusieurs heures de recherches vaines et désespérantes, la copine d’Henri tombe sur Henri, en train de faire griller de la viande sur un feu de bois. Comme il fait un peu la tête, sa copine, aiguillonnée par la faim, essaye briser la glace :

  • Tu sais, ta mère, je ne l’aime pas trop.

Agacé, Henri lui réponds :

  • Tu l’aimes, tu manges ; tu l’aime pas, tu ne mange pas !

J’ai faim ! (2)

Dans un village d’Éthiopie, deux petits enfants affamés discutent :

"Y en a marre de crever de faim. J’ai entendu dire que de l’autre côté de la Méditerranée, en France, les petits enfants mangeaient à leur faim et pouvaient se gaver de sucreries. C’est décidé, j’y vais !"

Et le petit éthiopien rejoint le bord de la Mer Rouge, il se construit une barque, parcourt plusieurs milliers de kilomètres en ramant, perd 5 kilos, parvient au Canal de Suez, puis à la Méditerranée. Sa barque coule et il finit son voyage à la nage, cramponné à un bout de bois.

Plusieurs jours plus tard, après avoir perdu cinq kilos supplémentaires, il arrive exténué sur la plage de Cannes.

C’est justement le jour de sortie des enfants et tout le monde fait pique-nique au bord de la plage, à l’ombre des palmiers. Le petit éthiopien se mélange aux autre enfants. Il ne lui reste que la peau sur les os. Il a perdu plus de dix kilos !!!

L’institutrice dit :

  • "Qui n’a pas mangé ?"

Alors le petit éthiopien fou de joie répond :

  • "MOI, MOI, MOI !"

Et la maîtresse :

  • "C’est bien mon petit, alors tu peux aller te baigner !"

Insoutenable scène de guerre

J’ai faim ! (3)

Deux anthropophages meurent de faim après avoir dévoré tous leurs voisins.

  • On devrait commander un frigo à la Redoute, dit l’un
  • Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse d’un frigo ? On n’a même pas l’électricité, et rien à mettre dedans !
  • Réfléchis : il faudra au moins deux costauds, pour le livrer !

J’ai faim ! (4)

Deux cannibales, un père et son fils, ont été élus par la tribu pour aller chercher à manger hors des limites du village. Le père et le fils s’enfoncent au plus profond de la jungle, là où personne dans la tribu n’avait encore été, à la recherche d’une proie.

Au bout d’une journée de traque, ils croisent un petit vieux. Le fils dit : "Oh papa, là, regarde, il y en a un !"

"Non," lui répond le père. "Il n’y a pas assez de viande là dessus. On pourrait à peine le donner aux chiens. Continuons la traque."

Quelques heures plus tard, ils aperçoivent sur un homme blanc, très gros. Le fils dit : "Hé papa, celui là est impeccable. On va avoir à manger pendant des mois, qu’est-ce qu’on va se régaler !"

"Non," répond le père. "Avec lui, tout le monde dans le village aura un infarctus. Il y a trop de cholestérol dans celui-là. Attendons encore."

Une heure plus tard, voici qu’arrive une superbe et plantureuse femme blanche, genre Laetitia Casta. Le fils est excité comme une puce : "Papa, papa, cette fois-ci y a rien à redire. On va la bouffer, hein, dis papa."

"Non mon fils," répond le père. "On ne mangera pas celle-là non plus."

"Et pourquoi pas papa ?" interroge le fils, visiblement perdu.

"On ne va pas la manger, on va la ramener à la maison vivante et on mangera ta mère !"

J’ai faim ! (5)

Le chef cannibale gronde le cuistot qui surveille la cuisson d’un homme dans une énorme marmite :

  • Enfin, fiche-lui un peu la paix ! C’est déjà assez horrible pour lui de bouillir là-dedans, ce n’est pas la peine de le faire souffrir encore plus en soulevant le couvercle toutes les deux minutes pour le piquer avec ta sagaie !!!
  • Je veux bien, chef, répond le cuistot, mais c’est qu’il est en train de manger tous les légumes !

J’ai faim ! (6)

Une famille de cannibales est à table, en train de dîner. Le plus petit rouspète :

  • Maman, je n’aime pas mon professeur de mathématiques !
    Sa mère lui répond :
  • Ce n’est pas dramatique, mon chéri. Laisse-le et mange au moins tes haricots !

Pauvre Maurice

Deux vieilles dames qui ne s’étaient pas vues depuis des années se "tombent dessus" à l’occasion du repas de Noël des anciens.
Après les traditionnels « Comment ça va ? » etc., la première demande :

  • Et comment va Maurice, ton mari ?
  • Il est mort.
  • Ça alors, je suis désolée, qu’est-ce qui lui est arrivé ?
  • Eh bien, ça s’est passé au mois d’août. Je préparais le repas du midi et je lui ai demandé d’aller dans le jardin pour cueillir des tomates, et il mettait énormément de temps à revenir, alors je suis allée voir ce qui se passait, et je l’ai retrouvé mort...
  • Ça alors, ça a du être horrible. Alors, qu’est-ce que tu as fait ?
  • Oh, ben, j’ai ouvert une boite de petits-pois-carottes.