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Famidac, l'association des accueillants familiaux
et de leurs partenaires

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Métier : Maître ou Maîtresse de maison, intendant(e)...

Auteur : Frédérique LETOURNEUX, ASH Magazine Janvier/Février 2007, pages 22 à 25.

Fiche métier : Maîtres et maîtresses de maison

  • Mission

Au sein des établissements, les maîtres et maîtresses de maison prennent en charge les conditions matérielles de la vie quotidienne des usagers : repas, linge, gestion du budget et économat. Ils participent à l’accompagnement des personnes accueillies, en lien avec les équipes éducatives. Leur fonction s’intègre dans les évolutions récentes du secteur, et notamment l’abandon progressif des grandes structures d’hébergement collectives pour des unités de taille plus réduite, dans un souci de plus grande proximité entre structures d’encadrement et usagers.

  • Formation

Selon l’avenant n° 285 relatif à l’emploi de maître et de maîtresse de maison de la convention collective du 15 mars 1966, ces derniers doivent justifier de 175 heures d’une formation adaptée et reconnue par la commission pari-
taire nationale de l’emploi de la branche associative sanitaire et sociale. Plusieurs centres dispensent de telles formations, selon un découpage qui doit répondre aux quatre axes du référentiel de compétences suivant :

  • assurer les conditions matérielles de l’accueil et de la sortie des usagers (cadre institutionnel, connaissance des publics ! ;
  • garantir la qualité et l’adaptation du cadre de vie au projet d’établissement ;
  • assurer l’hygiène et la sécurité des locaux (réglementation, gestion des situations de crise] ;
  • animer et gérer un espace dédié à une activité technique.

Des allégements existent en fonction des formations antérieures et des acquis de l’expérience, à condition de satisfaire aux modalités d’évaluation prévues par le projet de formation.

  • Employeurs

Les maîtresses de maison interviennent dans le secteur social (foyers,
maisons-relais, maisons d’enfants à caractère social) et médico-social (institut médico-pédagogique, institut médico-professionnel, instituts thérapeutique, éducatif et pédagogique).

Selon l’avenant 285, cette fonction est classée dans la grille d’emploi d’"ouvrier qualifié". La convention collective du 31 octobre 1951 reconnaît également cette qualification mais sous des intitulés différents : agent des services logistiques N1 et N 2, ouvrier et responsable des services logistiques.

  • Perspectives

Une fois en poste, en fonction des publics suivis, les maîtresses de maison peuvent notamment s’orienter par le biais de la validation des acquis de l’expérience vers des diplômes de niveau IV comme celui de technicienne de l’intervention sociale et familiale ou de moniteur-éducateur.


Des maisons-relais pour rompre l’isolement

Les maisons-relais sont une modalité particulière de résidence sociale. Elles proposent un habitat durable, de petite taille, associant logements privatifs et espaces collectifs.

L’idée en a été lancée sous le nom de "pension de famille" en 1996 par un groupe de travail constitué par Xavier Emmanuelli, alors secrétaire d’Etat à l’action humanitaire d’urgence, et par les ministres chargés respectivement du Logement et des Affaires sociales. L’objectif étant d’accueillir des personnes à faible niveau de ressources, dans une situation d’isolement ou d’exclusion. Puis une circulaire du 21 avril 1997 lance un programme expérimental sur la base d’un appel à projets.

C’est dans ce cadre que l’association Habitat et humanisme, en lien avec d’autres partenaires comme l’hôpital psychiatrique Saint-Jean-de-Dieu (Lyon) et la ville de Saint-Genîs-Laval, crée l’association de la villa Mercedes. Avec neuf autres projets sur l’ensemble du territoire, ce prototype est évalué en juin 2001 par Opsis, un cabinet d’études urbaines et rurales.

De cette évaluation sera d’ailleurs tirée l’ossature de la circulaire du 10 décembre 2002 créant les maisons-relais. On en recense à ce jour 172, offrant une capacité d’environ 3000 places. Une note conjointe de la direction générale de l’action sociale et la direction générale de l’urbanisme du 13 avril 2005 indiquait que la loi de cohésion sociale devait permettre d’arriver à 4000 places d’ici à la fin 2007.


L’intendante

24 heures dans la vie d’une maîtresse de maison

A la villa Mercedes, maison-relais située à Saint-Genis-Lavai, dans la banlieue lyonnaise (69), se côtoient des patients placés par l’hôpital psychiatrique et des personnes en grande exclusion sociale. Aux commandes de cette large bâtisse - six chambres, six studios et un appartement deux-pièces qui accueille treize résidents, Christine Sénéchal, maîtresse de maison. Entre intendance et animation, problèmes du quotidien et rôle d’alerte, elle veille au séjour des usagers pendant les quelques années passées dans cette pension de famille. Une responsabilité que, comme d’autres, elle aimerait voir davantage reconnue.

8h30

Christine Sénéchal passe la porte de la villa Mercedes à Saint-Genis-Laval, dans la banlieue lyonnaise (69). Dans le salon, assis sur un coin du canapé, Michel R.
 [1]
fume une cigarette. Maryse Terrien s’affaire dans la cuisine à ranger son placard. Christine Sénéchal, bien dans son rôle de maîtresse de maison, s’assure que la nuit s’est bien passée et que le chauffage a mieux fonctionné que la veille, puis s’empresse de savoir si Christiane Giraud, un peu souffrante, est déjà sortie de son studio.

Comme chaque matin, ce rapide tour d’horizon lui permet de prendre des nouvelles des treize résidents qui logent actuellement dans la villa, agréée maison-relais depuis 2003. Cette grande bâtisse bourgeoise qui s’élève sur deux étages est constituée de six chambres, six studios et d’un appartement de deux pièces. Le projet social de la villa repose sur l’accueil mixte de patients placés par l’hôpital psychiatrique (un tiers des places leur est réservé) et de personnes en grande exclusion sociale orientées soit par le centre communal d’action sociale de la ville, soit par les travailleurs sociaux intervenant sur d’autres lieux d’accueil d’urgence gérés par l’association Habitat et humanisme.

Dans les maisons-relais, des "hôtesses" ou des "maîtresses de maison" assurent l’animation et veillent au bon déroulement de la vie quotidienne. Si certains ont reçu une formation dans le secteur social et médico-social, d’autres, à l’image de Christine Sénéchal, ont un parcours beaucoup plus atypique. Cette ancienne assistante de direction, âgée aujourd’hui de 54 ans et possédant une longue expérience dans l’industrie et l’import-export.est arrivée à la villa Mercedes en janvier 2001 « presque par hasard ». Déjà fortement engagée dans des actions de bénévolat, elle décide de changer de voie à la faveur d’une période de chômage et au terme d’un bilan de compétences, pour devenir maîtresse de maison.

Un poste qui requiert, selon elle, deux qualités majeures : « avoir les pieds sur terre et ne pas avoir peur d’affirmer son autorité ». Le kit mains libres rivé à l’oreille et le téléphone fixe de la maison toujours accroché à la ceinture, Christine Sénéchal a gardé des réflexes de son ancienne vie. Après avoir échangé quelques mots rapides dans la cuisine, elle se retire dans son bureau : un préfabriqué, situé au fond du jardin et accolé à la barrière anti-bruit assourdissant le flot des voitures de l’autoroute voisine. Elle y écoute les messages laissés sur le répondeur de la maison-relais : « La nuit, dans un moment d’angoisse, un résident peut avoir besoin d’entendre ma voix, explique-t-elle. Théoriquement, je ne suis d’astreinte ni la nuit ni les week-ends, mais il est déjà arrivé qu ’ils appellent chez moi, sur ma ligne privée, la fois où la cheminée s’est écroulée ou pour une coupure d’électricité. »

Sur le mur de son bureau sont accrochés une affichette indiquant les tours de ménage de chacun des résidents dans les pièces communes (hall d’entrée, salon, cuisine, toilettes, douches, buanderie) et le règlement intérieur. « Quand une nouvelle personne entre dans la maison, elle s’engage à le respecter. Elle assure qu’elle continuera également à avoir un suivi social ou psychologique et à poursuivre son traitement médical le cas échéant. Mais, légalement, cet engagement n’a aucune valeur », indique Christine Sénéchal.

La convention de location signée entre le résident et Régie nouvelle, l’agence immobilière à vocation sociale d’Habitat et humanisme, relève du régime de droit commun : même si la gestion locative est adaptée, une expulsion pour défaut de paiement ou trouble du voisinage peut être prononcée. Le résident recevant l’aide personnalisée au logement (secteur foyer), il ne lui reste qu’à payer le résiduel et le téléphone.

En moyenne, les résidents restent trois ou quatre ans : « Le terme de "relais" n’est pas vraiment approprié car il implique l’idée d’un simple passage, or il est précisément question ici de logement durable, précise Christine Sénéchal. L’expression "pension de famille" me paraît plus chaleureuse et plus adaptée. ». Elle veille d’ailleurs particulièrement à rendre la villa Mercedes agréable à vivre en accrochant des rideaux aux fenêtres, en disposant des plantes vertes dans le salon, en mettant des cadres photos aux murs...

En moyenne, le roulement s’établit à six sorties par an, dont deux qualifiées de « négatives » parce que fortement incitées par le bailleur ou provoquées par une hospitalisation sur demande d’un tiers. Mais il arrive aussi que le départ se fasse pour un studio privatif, le résident ayant acquis une autonomie suffisante. Il incombe également à la maîtresse de maison de dresser les états des lieux d’entrée et de sortie et surtout de veiller à ce que les logements ne restent pas trop longtemps inoccupés : « Je dois être attentive à la logique financière de la maison et il m’arrive parfois, par exemple, de devoir faire exécuter des travaux de rénovation d’un studio afin de pouvoir le relouer rapidement », souligne-t-elle.

Elle ne reste pas longtemps à l’écart dans son bureau et retourne dans la villa pour boire un café avec les résidents présents au rez-de-chaussée. Dans la cuisine, réservée en priorité aux usagers logés en chambres, chacun possède son placard et son frigo.

Le matin, la maison est souvent calme : les uns sont partis travailler, les autres vaquent à leurs occupations. Christine Sénéchal vérifie dans son agenda que tel résident a bien honoré son rendez vous, monte éventuellement à l’étage pour prendre des nouvelles de tel autre qui a eu tendance à s’isoler les jours précédents. Elle possède les doubles des clés des studios et des chambres en cas d’incident grave. Toutes ces petites attentions forment le cœur même de sa mission, qui consiste à assurer une présence sociale rassurante au quotidien.

11H

Comme chaque mercredi, elle rejoint, avec sa fourgonnette et accompagnée de l’un des résidents, les locaux de l’association d’aide alimentaire situés à deux pas de la mairie de Saint-Genis-Laval. Depuis 9 heures, l’équipe de bénévoles a déjà servi l’équivalent de 115 repas à partir les dons d’entreprises agroalimentaires de la région et de quelques maraîchers. Après 11 heures, le surplus est réservé à la villa Mercedes : croissants, pains, champignons, pommes...

De retour à la villa, une partie des denrées est déposée sur la table à gauche de l’escalier, en libre-service. L’autre est directement cuisinée avec l’aide des usagers puis congelée pour être utilisée lors des repas en commun.

A peine revenue, Christine Sénéchal reçoit un coup de téléphone : une violente altercation a éclaté entre deux résidents dans la cuisine de l’autre maison-relais d’Habitat et humanisme, située dans le IXe arrondissement de Lyon. Elle s’isole alors dans son bureau pour conseiller au mieux sa collègue : remplir une fiche incident, prévenir le bailleur, préciser à la victime qu’elle peut porter plainte...

Au quotidien, les deux femmes s’appellent ainsi régulièrement pour s’entraider. Elles se retrouvent aussi au cours d’une réunion mensuelle organisée par Habitat et humanisme et animée par une psychosociologue. Une séance d’analyse des pratiques que Christine Sénéchal juge indispensable : « Parfois, nous sommes confrontées à des situations terriblement angoissantes que nous ne savons pas gérer. Ces séances nous permettent d’avoir un regard extérieur et de ne plus être dans la seule gestion de l’urgence. »

Victime une seule fois en six ans d’une agression physique, elle raconte tout de même la violence des injures ,la brutalité des crises causées par l’alcool ou les délires irrationnels, l’intimité parfois impudique des confidences... Des journées thématiques de formation dispensées par l’Association départementale d’éducation pour la santé du Rhône ou l’association Aides Alcool lui ont fourni quelques outils : la conduite d’entretien individuel, les modalités d’aides et de soins, l’apprentissage des codes et du langage des soignants...

Christine Sénéchal profite de sa fin de matinée pour noter dans son cahier de liaison les nouvelles de la villa : « Odile E va mieux qu’hier ; Eric M. est d’une humeur massacrante » ... Autant d’éléments tirés de l’analyse d’entretiens individuels organisés dans son bureau et d’observations de la vie collective : « Le seul bruit des pas dans l’escalier me fournit des indications sur l’état de santé et l’humeur de l’un ou l’autre des résidents », assure-t-elle. Toutes ces notes prises jour après jour lui permettent de dresser un bilan aussi fidèle que possible de la situation de chacun au cours du comité de suivi.

Organisé dans la cuisine de la maison une fois par mois, ce comité regroupe la directrice adjointe de Régie nouvelle et les travailleurs sociaux ou les professionnels de santé « orienteurs » qui restent, en principe, les « référents » de la personne placée : les assistantes sociales d’Habitat et humanisme et de l’hôpital psychiatrique de Saint-Jean-de-Dieu, un infirmier psychiatrique du centre hospitalier, une éducatrice du service de suite du CAP (une association qui suit les femmes victimes de violences) et le chargé d’insertion du CCAS de Saint-Genis-Laval. « Je ne suis pas une soignante, explique la maîtresse de maison. Je peux juste identifier des signes et les laisser à la libre interprétation des psychiatres. »

Le comité de suivi est aussi l’occasion de faire le point sur les départs et les candidatures. Les chambres sont réservées en priorité aux personnes souffrant d’une grave tendance à l’isolement ou s’alcoolisant beaucoup. Christine Sénéchal veille au maintien d’une mixité dans le groupe et peut poser son veto sur une candidature qui selon elle pourrait déstabiliser la vie dans la maison : « Les critères d’entrée sont assez souples, mais il demeure préférable de connaître le profil de la personne avant de l’accueillir et de savoir par exemple si elle souffre de conduites addictives. »

Entre chaque rendez-vous mensuel, les contacts avec les travailleurs sociaux sont réguliers : « Je suis isolée géographiquement, comme un capitaine sur son bateau. Dans les situations de crise, il faut que je puisse passer le relais au référent du résident, que ce soit une assistante sociale, un éducateur, un psychiatre, un curateur, explique-t-elle. Je suis simplement responsable d’un lieu de vie et quand les problèmes deviennent trop personnels et pathologiques, ils ne sont plus de mon ressort. »

C’est toute l’ambiguïté de cette fonction qui consiste à partager le quotidien de personnes sans être de la famille, ni occuper un poste de soignant ou d’éducateur. Résultat, le poste de maîtresse de maison reste pour l’instant dans un certain "hors champ", en dépit de sa récente intégration dans la convention collective nationale de travail des établissements et services pour personnes inadaptées et handicapées de 1966.

Comme les autres salariés rattachés à Habitat et humanisme Rhône exerçant le même cœur de métier, Christine Sénéchal dépend de la convention collective "Promotion et construction" avec le statut de responsable de maison.

14H

Dans la cuisine, Christiane Giraud épluche les pommes, Maryse Terrien mesure la farine. C’est l’heure du café et de la préparation des gâteaux pour le goûter d’anniversaire organisé pour Jean Clavel, le bénévole référent d’Habitat et humanisme. Ancien responsable de la gestion locative, il est un personnage clé de la villa : il suit les parcours des uns et des autres et seconde Christine Sénéchal lors des comités de résidents organisés une fois par mois dans le salon de la maison.

Une réunion où tous les moments forts de la vie en collectivité sont abordés et discutés : le dîner du réveillon, l’activité "émaux" organisée lors d’un prochain week-end, la venue de Cécile, une autre bénévole, pour réaliser des activités manuelles avec les volontaires, un repas avec les résidents de la maison de retraite toute proche... Autant d’activités qu’il revient à la maîtresse de maison d’impulser et de coordonner avec un budget animation mensuel de 250 euros. D’ailleurs, les photos s’accumulent dans les albums comme autant de souvenirs de moments partagés : celle de Gérard, « le bénévole bricoleur », taillant la glycine ou de l’excursion à vélo proposée par Éric M. 

Mais ce comité donne également l’occasion à chaque résident de faire part de ses récriminations : une boîte aux lettres cassée, la réparation de la cheminée, un résident excédé par le réveil de son voisin. « C’est précisément la variété des demandes des résidents qui constitue la principale difficulté de ce poste, reconnaît Jean Clavel. Il faut gérer les états d’âme de personnes malades et complètement désocialisées et en même temps il faut être attentif à tous ces petits problèmes du quotidien qui les exaspèrent. »

17H

Les bougies du gâteau d’anniversaire sont soufflées, tandis que Max L. et Elise J. reviennent de leur journée de travail et s’installent dans le salon. La discussion s’amorce, chacun raconte sa journée. Des histoires de boulot, comme dans n’importe quelle famille.

« J’ai trouvé passionnant d’apprendre à mes enfants à se détacher de moi, explique Christine Sénéchal. Désormais, c’est aux résidents de la villa que j’apprends à devenir autonomes. » Mais pour réaliser cette tâche, son temps de travail n’est pas extensif : 36 heures hebdomadaires théoriques, qui comprennent un dîner hebdomadaire avec les résidents. « Même s’il est parfois difficile de couper avec la vie de la villa, j’ai besoin de me ressourcer auprès de ma propre famille », concède-t-elle.

Alors que l’heure de son départ approche, les demandes se font plus pres-santes. Pour beaucoup de résidents, la solitude de la nuit à venir devient soudain source d’angoisses et Christine Sénéchal doit, une dernière fois.se montrer rassurante.

Frédérique LETOURNEUX


Légendes de photos illustrant cet article :

" JE SUIS SIMPLEMENT RESPONSABLE D’UN LIEU DE VIE : QUAND LES PROBLÈMES DEVIENNENT TROP PERSONNELS ET PATHOLOGIQUES, ILS NE SONT PLUS DE MON RESSORT. "

  • ORGANISER : Partagée entre cuisine (où chaque résident possède un placard et un frigo) et dépendance (son bureau, où elle consigne son suivi des usagers), Christine Sénéchal gère d’abord la logistique de la maison, en particulier la nourriture (grâce à une association d’aide alimentaire).
  • LA RELATION À L’USAGER : Rendre visite aux résidents, boire le café ou faire la cuisine avec eux, bref prendre le pouls de chacun constitue une part essentielle de son travail. Ce qui signifie aussi faire de la maison-relais un cadre de vie propice à une sortie réussie.
  • GÉRER ET ANIMER : Outre les tâches du quotidien, organiser les activités - comité de résidents, sortie ou simple fête fait aussi partie de sa mission.

Notes

[1Certaines personnes ont souhaité garder l’anonymat.